Réveil dans la terreur : Le Maître d’école


Suite à son visionnage sur le site d’ARTE, retour sur le titre de Ted Kotcheff.


Rambo racontait un retour impossible, une réinsertion manquée ; Réveil dans la terreur narre un départ sans cesse retardé, différé, in fine abandonné. Les deux films portraiturent un individu en marge, à l’extérieur (un outsider, donc) et une communauté volontiers virile, à la fois ouverte et refermée sur elle-même, ses rites et ses lois. Le paysage forestier devient un désert ocre, quadrillé à trois cent soixante degrés par le plan d’ouverture en surplomb, panoramique circulaire sur deux bâtiments miroités, une paire de rail, l’immensité dédoublée, aplatie, de la terre et du ciel (on pense au prologue admirablement interminable de Il était une fois dans l’Ouest). Pas de putain descendant du train (mouvement ascensionnel/citationnel à la grue) en allégorie des pionniers américains riches de rêves sauvages sur lesquels ériger une société (la dialectique pulsion/civilisation irrigue l’opus australien, clairement formulé par Doc au détour d’un dialogue-monologue « socratique », on y reviendra), mais une classe de marmots sur le point de partir en vacances (six semaines, quand même) de… Noël, incongruité drolatique donnant le ton (attente tendue, bruit de l’horloge, sapin en plastique, familiarités des élèves). L’instituteur, pas encore en sueur, se morfond dans ce trou foutrement perdu de l’arrière-pays, se sent « esclave » du système éducatif, ne songe qu’à aller fissa retrouver sa chérie, surfeuse à Sidney (images mentales, sexuelles et hypnagogiques, dans le train des fêtards blancs, de l’Aborigène solitaire, deux cultures s’ignorant royalement dans le compartiment et dans les chants). Un peu avant, en compagnie du propriétaire peu amène de l’hôtel, il commençait à siroter une bière, leitmotiv alcoolisé du métrage et du tournage (notez le château d’eau transformée en citerne brune, à l’intitulé explicite).


Avec sa belle petite gueule soignée d’employé sous caution de la classe moyenne éduquée, ses faux airs de Peter O’Toole et de Robert Redford (le personnage caresse l’idée, en dilettante velléitaire, de jouer au journaliste en Angleterre), John Grant (convaincant Gary Bond, acteur britannique de théâtre, de TV et de musical, prématurément disparu en 1995 du SIDA) fait escale à Yabba, le paradis de l’Australie, si l’on en croit le taxi driver qui en parle comme d’une annexe de la Légion étrangère, une ville où tout ira bien tant que vous respectez les règles, où personne ne vous dérangera avec des questions malséantes sur votre passé. Grant, le soir venu (il doit passer la nuit ici, s’envoler demain) ne trouve rien de mieux à faire que de pénétrer dans un bar « fermé » (la porte, pas l’activité), d’y papoter avec le shérif local (Chips Rafferty, mort d’une crise cardiaque peu avant la sortie, et Rambo, bis), d’y boire régulièrement, d’y assister, moqueur puis ravi d’avoir gagné un pactole frivole, à une variante « indigène » du pile ou face (un « jeu de simple d’esprit », conclut-il, les sous-titres optant pour un approximatif « jeu d’enfant »). Mais sa chance tourne à l’unisson de l’objectif au début : à vouloir miser (trop) gros afin de tourner définitivement le dos à une profession et une situation qu’il exècre, le voici au matin déjà brûlant nu sur un mauvais lit, sans habits et sans argent, le bureau de placement bien évidemment fermé le samedi. La veille, il rencontra en grignotant un steak (tout le monde constate son caractère d’étranger, tout le monde l’appelle « fiston ») un personnage entre l’ermite, le bookmakeur, le cinglé, le sage (Donald Pleasence, égal à lui-même, c’est-à-dire remarquable).


Chauve mais nanti d’enseignements drolatiques, ce « médecin marron » lui fit remarquer, d’un air badin, en levant sa propre canette infecte (bière chaude redoutable), la nature infernale des lieux, la dureté des conditions de travail des agriculteurs (comment pourraient-ils en plus chanter des airs d’opéra, hein ?), encore plus dures que celles des mineurs, et il formula de manière lapidaire la moralité de la fable cruelle mais résiliente : « L’insatisfaction est un luxe. » En effet, partout et toujours, et le protagoniste, Christ à la Camus (L’Étranger, allez) petit arrogant se croyant au-dessus des autres, en simple transit, va vite (et longuement, le temps d’un mémorable week-end et d’une hospitalisation calée sur la vacance professionnelle) s’en apercevoir, à ses dépens inquiétants et réjouissants (surtout pour le spectateur). Au cours de son odyssée existentielle, de sa chute temporaire (on frémit pour lui, on ne craint pas pour sa vie), ce Candide décoloré en veste blanche et lunettes noires va croiser deux ou trois trajectoires et même participer, « bon gré mal gré » bourré, à une chasse au kangourou très réaliste (et pour cause, un carton final nous avertit gentiment que le « massacre », renforcé par la dimension cumulative de la succession des plans, se vit exécuté par des « professionnels », que sa diffusion, en accord avec la SPA australienne, ne vise qu’à « sensibiliser l’opinion » internationale sur le sort d’une « espèce menacée », argument discutable, certes, presque autant que la sensiblerie de cinéphiles ou de citoyens pleurnichant à puis oubliant illico la photo d’un gamin migrant noyé en une).


Souvent amusant, Réveil dans la terreur (le titre original, Wake in Fright, avec sa saveur joycienne, factuelle, abandonne l’hyperbole racoleuse de son équivalent français) mêle à cette occasion « horreur » (il existe mille atrocités réelles encore plus difficiles à encaisser que l’image de la patte anthropomorphe d’un cadavre d’animal dressée en protestation culpabilisante, désolé de vous l’apprendre) et humour noir, surréaliste combat de boxe entre espèces et ragoût « repoussant » mitonné à la clé. Sans minorer les puissances du cinéma, l’impact du spectacle, rappelons (aux amnésiques, aux pharisiens) que la violence n’y surgit pas, que n’advient que sa représentation, son expression souvent codifiée, tamisée, en guise d’intentions, par la sélection et la durée des photogrammes (cf. la tuerie au ralenti de La Horde sauvage), même et surtout au sein de scandales préfabriqués (A Serbian Film, maladroite, inintéressante, très intéressée, sinon putassière, tentative de transposer les Atrides dans une Serbie à peine remise des outrages « ethniques » de la « guerre civile », un zeste de snuff et un soupçon de pédophilie pour « corser le tout », susciter à bon compte le dégoût, ou les bâillements). Traquant au spot le mammifère hypnotisé, une dizaine d’années avant les abrutis avinés (pléonasme) de Razorback, Grant découvre bien évidemment sa propre violence, prend goût à l’exercice nocturne, à cette camaraderie hilare et guère raffinée, sidéré par la nuit en lui, rendu ivre par elle, à l’instar du petit prof de maths de l’éthologique Les Chiens de paille, son contemporain sis dans les Cornouailles. Il ne défend plus un territoire et une « possession » (son cottage, sa fiancée), il essaie simplement de suivre le courant, de survivre dans un environnement pas si hostile, essentiellement dépourvu de la cruauté, de l’absurdité, du sadisme démontrés d’éprouvante façon dans Wolf Creek, dépliant horrifique et non touristique certainement pas financé par l’OTSI d’Australie (ou sa succursale à Canberra).


Affirmer que le héros, dans son errance, se voit cerné par des « dégénérés », terme sinistre hautement connoté par l’eugénisme « esthétique » et « racial » des nazis, en dit beaucoup sur l’éthique de certains critiques, sur leur aversion envers le « peuple », cette entité immatérielle, forcément immature, insaisissable et par conséquent rarement représentée. Kotcheff, Canadien pas manichéen (remember, dans Rambo, le personnage « moral » du jeunot David Caruso), ne fait le procès de quiconque, et les habitants de la bourgade font montre d’hospitalité, d’honnêteté (notamment au jeu d’argent), accueillent sans arrière-pensée, sans le (mé)juger ce soi-disant intellectuel se vantant auprès d’une femme au foyer vraisemblablement désespérée de ses études d’histoire et de littérature (comme si cela pouvait suffire à vous identifier, à vous glorifier, par pure opposition avec les « bouseux » du coin). Réveil dans la terreur, ni documentaire moralisateur (notre auteur, dans les colonnes des Inrocks, désignera Sydney, « ce monde prétendument civilisé », en vrai repoussoir), ni petit exercice de style formaliste, récuse ainsi le confortable antagonisme ville/campagne (devinez à qui doit aller votre sympathie) esquissé lors d’un court billet. S’il possède, outre la présence partagée de John Meillon (également présent dans Walkabout), d’évidents points communs avec Les Voitures qui ont mangé Paris (l’enfermement spatial, l’inertie féminine, la violence « ludique »), Wake in Fright, a contrario de la comédie noire de Peter Weir, ne verse jamais dans la satire, voire dans la farce : Kotcheff, alors hippie pessimiste et végétarien âgé d’une quarantaine d’années, ne filme pas, fasciné, des fantoches, des assassins consanguins, des spécimens d’inhumanité (Oscar Wilde, en son temps, rédigea une formule célèbre, lapidaire et lucide, à propos de la chasse, cela ne saurait transformer pour autant ceux qui la pratiquent en avérés rebuts de l’humanité, que je sache).


Yabba, petite ville assurément étouffante, mais pas davantage que la province hexagonale de notables selon Chabrol, disons, connaît quelques suicides (« un moyen de quitter la ville » plaisante Grant), majoritairement féminins, assure Kotcheff en parlant de Broken Hill, le site reculé du tournage (et alors ? Et ailleurs ?), certes, tout le monde s’y connaît (d’où la promiscuité sexuelle), d’accord, et certains résidents (le duo Dick & Joe) ne brillent pas en raison de leur radieuse intelligence (les deux costauds se bastonnent avec l’allégresse d’un Bud Spencer et d’un Terence Hill des antipodes) ; quant à commettre un braquage ou d’autres crimes, n’y pensons pas, le no man’s land alentour suffisant à décourager les meilleures mauvaises volontés, muraille intangible et infranchissable. Cependant, l’Enfer se situe plusieurs crans au-dessous, par exemple du côté de la jungle eschatologique du Convoi de la peur, de sa misère, de sa crasse, de son aspect terminal et terminus des « âmes mortes » (Gogol meets Friedkin) occidentales. Oui, le peuple, n’en déplaise aux petits marquis parisiens et globalisés, le peuple boit, rote, s’emmerde, défèque, mate les filles, parie son salaire, ouvre sa maison, héberge les poivrots (lettrés), trafique le rapport policier consécutif à un suicide raté (pas même foutu de liquider son rival et probable « violeur », de se tirer correctement une balle dans la tête, vraiment) et raccompagne à la gare le visiteur guéri, muni de sa petite valise et s’offrant le luxe ironique d’accepter une bière bouclant la boucle, avant de réintégrer sa classe et sa chambre, sous l’œil amusé du taulier (Rambo s’achevait dans les larmes d’une confession adressée à un surmoi œdipien nommé Trautman, à un public bientôt acquis au révisionnisme reaganien, les professionnels du commentaire plus enclins à conspuer le survival supposé revanchard, à négliger le caractère profondément mélancolique de l’ouvrage, souligné par le thème lyrique de Jerry Goldsmith), dans le clin d’œil auto-ironique d’une réplique (« Les meilleures vacances »).


« Ces gens-là », pittoresques et indigestes, infantiles et fragiles, amicaux et spéculaires, ne méritent pas notre mépris, ne récoltent notre désaccord que lorsqu’ils jouent à tort de la gâchette (Grant tue lui-même un pauvre petit lapin pour s’en nourrir, retourné au primitivisme des origines, rime graphique et narrative avec l’astronaute étasunien bouffant cru un serpent dans Capricorn One). Si cette réalité ne vous plaît pas, vous devriez en visiter quelques autres proposait Philip K. Dick et Réveil dans la terreur applique l’invite à son cobaye insatisfait (inassouvi, dirait Witkiewicz), le met à l’épreuve du réel, d’une réalité jaugée de haut, lui fait traverser un mauvais rêve, un cauchemar fortifiant, une épopée de poche, un surplace épuisant (on se remémore le trajet circulaire de L’Antre de la folie), au terme desquels, dans le doux soleil de la grande ville, il peut attraper son train sans même remercier son « clochard céleste » (Kerouac) d’ange gardien aux allures de croque-mort. Le « professeur des écoles », avec ses états d’âme et ses fantasmes d’adolescent (joli maillot rouge ajouré de sa spectrale et banale naïade blonde, bronzée, élancée, enlacée), éprouve la pointe de la vérité, se réveille du rêve dans le rêve de Tchouang-tseu ou Poe. Sur son chemin de croix vers la joie – celle, précieuse, élémentaire, de respirer, d’être sobre, de voir enfin les êtres et les choses dans la clarté de l’esprit, de la reconnaissance, sinon de l’acceptation –, il aperçoit une réceptionniste hiératique et « humide » (Maggie Dence, sorte de Dita von Teese sixties, aérée par un ventilateur emprunté aux Orgueilleux), il rencontre Janette, figure éphémère et majeure, incarnée, au sens plein du terme, par Sylvia Kay, séduisante, émouvante, vivante et accessoirement compagne anglaise du cinéaste.


La fille du retraité hospitalier au nœud papillon ne sourit pas mais l’entraîne à l’écart en pleine nuit, s’allonge sur le sol sableux, déboutonne sa robe et attend qu’il la prenne, qu’il prenne sa place dans le cortège des amants impuissants, insuffisants, édifiants. Femme libre dans son désir, sa sexualité, prisonnière du décor (du désert, of course, et un salut à John Ford), des conventions (pour Doc, ne la traitent de « salope » que les hommes repoussés, que les épouses envieuses ; son « She likes sex » devient, sous-titré, un grossier « Elle aime le cul »), elle cristallise, à l’aube des années 70, le féminisme à venir, débarrassé des doléances, des récriminations, du moralisme suspect substitué à celui apparemment instauré de toute éternité par la « domination masculine ». Le spectateur jugera la réaction primale de Grant (il vomit dans un fourré, effrayé à l’idée pressante, urgente, de la fourrer) comme une preuve sentimentale de fidélité ou le paraphe de son puritanisme (opinion de la persona de Pleasence). Silhouette fine et mutique, faussement soumise, bloc d’énigme et d’attraction-répulsion, Janette obscurcit de sa lumière première une histoire claire, un film simple, un conte de fées pour adultes dans lequel les démons se déploient à domicile, à la maison, dans la psyché troublée (écrans noirs stroboscopiques) d’un petit fonctionnaire désabusé par son confort privé d’horizon (qu’il vienne tester le secteur privé, qu’il fasse un séjour en milieu hospitalier ou carcéral et l’on reparle avec lui, ou pas, de son vague à l’âme). La béance intérieure de Grant, sa propension à ne pas refuser un dernier verre, un verre de trop, à succomber à ses élans navrants, il s’en défend assez minablement auprès d’un chauffeur (un autre le ramène impitoyablement à son point de départ, mais lui rend son fusil, n’en tire aucun profit, joli geste désintéressé de sa bonne nature) l’invitant à se rincer le gosier, en parangon aux limites de l’hystérie de la bonne conscience blanche et gauchisante se souciant, croit-elle, se félicite-t-elle, de l’exploitation éhontée, banalisée, des masses, des femmes et des bestioles.


Résumons : Réveil dans la terreur, au lieu de dépeindre un pandémonium caniculaire et sociologique, retrace l’itinéraire allégorique d’un individu aux prises avec lui-même, sa stase émotionnelle et personnelle, son peu d’appétit à continuer à vivre ainsi, équilibré par une incapacité à se donner les vrais moyens de tout changer (mais change-t-on jamais de cœur, de nature, au-delà de tous les paysages, de toutes les (més)aventures ?). En cela, en cela seulement, il s’humanise et finit par fraterniser avec la « populace » et le public, par se lier à autrui (le film constitue, en mineur, une ode à la solidarité, aux relations collectives, au risque d’y voir virer sa cuti, comme durant l’étreinte ouvertement homo (Lawrence d’Arabie en embuscade sodomite) de l’instituteur et du docteur, pudiquement écourtée par un jeu de lumière et d’ombre à la Clouzot du Corbeau, chipé au passage par le Hitchcock de Psychose) et par nous toucher en dépit de son « être-là » (Heidegger) au fond assez peu sympathique (le charisme naturel de l’acteur, son talent flagrant, contribuent itou à cette réponse affective et symbolique). Bien servi par un « solide » scénario (d’après un roman documenté du journaliste australien Kenneth Cook, astucieusement titré Cinq matins de trop en français) signé Evan Jones (collaborateur de Losey), par une partition discrète, évocatrice, au parfum agréablement ethnologique (instruments du cru) due à John Scott (l’ample et poignant Greystoke, la légende de Tarzan, entre autres), par une direction de la photographie (le fidèle Brian West) à faire pâlir d’envie un Dean Semler (Mad Max, Apocalypto), Réveil dans la terreur s’avère en définitive une plaisante surprise, ou la confirmation de la valeur d’un réalisateur (même si Kotcheff, probablement, hélas et tant pis, ne sut ou ne put se maintenir ensuite à ce niveau de maîtrise formelle et d’excellence thématique, ne citons que l’anecdotique Retour vers l’enfer et l’anodin The Shooter, à peine sauvés de l’oubli par la détresse paternelle de Gene Hackman et une danse incendiaire de la bien trop rare Maruschka Detmers).


Avec ses citations d’Omar Khayyam et de Rigoletto, avec ses manuels scolaires jetés à terre, dans la poussière, en écho à l’insigne de l’inspecteur Harry, avec sa saugrenue cérémonie expéditive (silence minuté, respecté, respectueux) dédiée aux anciens combattants, avec son « survivant » pas rasé, pas lavé, sorti du tombeau des marsupiaux dans les rues proprettes en réminiscence (ou présage) de Michael Douglas dans The Game, businessman secoué pour son anniversaire par son frère le mettant au défi de se défaire de son deuil, d’affronter les pièges et les mensonges de la réalité (truquée), avec ses mouches farouches et ses effets (affolants, affolés) de montage à la Nicolas Roeg, cette Randonnée directe, concrète, ironique et métaphorique, telle un relecture hardcore du Poison de Billy Wilder croisé avec les deux Long Weekend, à la saveur existentielle plutôt qu’écolo (et sans le brillant-regretté Everett De Roche à la machine à écrire), « scandaleuse » (surtout là-bas, malgré l’adoubement de Nick Cave) et admirée à Cannes par Scorsese, méritait bien son exhumation, même en catimini, même à un horaire indécent ou dans la brièveté du replay, grâce au négatif original sauvé-restauré par le monteur/producteur Anthony Buckley, retrouvé dans le container d’un entrepôt de Pittsburgh (chez Romero !) une semaine avant sa destruction (on signale aussi une copie en bon état disponible à la Library of Congress). Le cinéma australien des seventies, outre les classiques reconnus, recensés, encensés, comprend-il de similaires pépites ? Le futur, à la TV ou sur les multiples écrans de la « modernité », nous le dira, à Tiboonda ou pas.

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