Un film, une ligne

 

Cinoche moche, vie brève, texte « in progress »…

  •  Une vie violente (Thierry de Peretti, 2017)

Auteurisme théâtral, in extremis psychologique, dont la facticité des flammes n’enflamme…

  • Double Take (Johan Grimonprez, 2010)

Interminable et muséal salmigondis, commis par un « artiste multimédia » multimédiocre…

  • Mandibules (Quentin Dupieux, 2021)

Téléfilmée moralité d’amitié anémiée, où Exarchopoulos s’époumone ; Cronenberg ricane…

  • The Rider (Chloé Zhao, 2017)

Interminable mélodrame œdipien-équin : garder le bagarreur Bonner, bazarder à Bartabas…

  • El Presidente (Santiago Mitre, 2017)

La baudruche politique puis psychologique (se dé) gonfle vite, l’irrésolution assure la vanité…

  • Le Sel de Svanétie (Mikhaïl Kalatozov, 1930)

Du docudrama de propagande qui cependant déplut, dommage pour l’admiratif Tarkovski…

  • Adieu les cons (Albert Dupontel, 2020)

Mélo démago d’opus anti-police, éclairé comme une publicité, rempli de spéci(a)eux effets…

  • Caramel (Nadine Labaki, 2007)

Chronique anecdotique, qui confond à fond superficialité avec sensualité et soap avec ciné…

  • Red State (Kevin Smith, 2011)

Par un petit cinéaste de la tchatche, démonstration à la con de la réversibilité de la violence…

  • Une affaire de famille (Hirokazu Kore-eda, 2018)

Petit précis pas con de recomposition puis de décomposition, cependant d’un statisme suant…

  • Svengali (Anthony Harvey, 1983)

Téléfilm cacochyme qui ne grandit ni Peter d’Arabie, l’absent Barry, la fredonnante Jodie…

  • The Video Dead (Robert Scott, 1987)

Maquillages, miroirs, humour, cinéphilie, musique merdique, acteurs amateurs, paresse puis…

  • Le Gardien du manuscrit sacré (Paul Hunter, 2003)

Par Woo co-produit, honte à lui, un récit pourri de succession à la con, presque à la Spielberg…

  • Warlock (Steve Miner, 1989)

Drolatique mais anecdotique, généreux mais neuneu, assez inventif mais aussi inoffensif…

  • Le Garçon invisible (Gabriele Salvatores, 2014)

Roman (mutant) familial à la russe, filmé façon Jeunet ; on élit la télékinésie de Tarkovski…

  • The Father (Florian Zeller, 2021)

Mélo lacrymo in fine transformé en (télé)film mental ; on en reste au rugueux Haneke…

  • Moi, Michel G., milliardaire, maître du monde (Stéphane Kazandjian, 2011)

Un C’est arrivé près de chez vous chelou, d’une hideur dogmatique (in)digne du dénoncé…

  • Eaux troubles (Stefan Krohmer, 2006)

Triolisme, infantilisme et cynisme de téléfilm, que l’experte et concrète Gedeck rachète…

  • Laissez tirer les tireurs (Guy Lefranc, 1964)

Entre France et Italie, ciné de série, divertissement divertissant, noir et blanc assez élégant…

  • Interdit de séjour (Maurice de Canonge, 1955)

Le cureton de Bresson en indic dégoûté : petit polar sur un poissard, impersonnel et soigné…

  • Le Sicilien (Pierre Chevalier, 1958)

Pour Pascale, avant Guédiguian, feuilleton phocéen ; en dépit des défauts, préférer Cimino…

  • La Fine Fleur (Pierre Pinaud, 2021)

Téléfilm floral fané, produit par et pour plusieurs chaînes de TV, de grand enfant à sa maman…

  • Kuessipan (Myriam Verreault, 2019)

Naturalisme à la québécoise anecdotique, d’amitié tourmentée, romance « interraciale »…

  • Pas de pitié pour les caves (Henri Lepage, 1955)

Maquereau romantique, strip préhistorique, beau boulot de Doll & Ripert, Ardan & Dynam…

  • The Last Family (Jan P. Matuszyński, 2016)

Double biopic plutôt drolatique, desservi par des surcadrages en série ; coda quasi Haneke…

  • Retour à Howards End (James Ivory, 1992)

Marxisme ? Académisme. Complexité ? Superficialité. Satirique ? Sentimental. Lean ? Ivory…

  • Tutto il mio folle amore (Gabriele Salvatores, 2019)

Autisme en musique, picaresque pseudo-pittoresque, cara Valeria ; Clint & Cruise ricanent…

  • Dilili à Paris (Michel Ocelot, 2018)

Périple parisien de pensum pseudo-culturel, politiquement correct, insipide et très ripoliné…

  • L’Arme parfaite (Mark DiSalle, 1991)

Karaté Kid croise La Fureur de vaincre : pédagogie dispensable + caméo muet de Hargitay...

  • TerrorVision (Ted Nicolaou, 1986)

Satire sociale et cinéphile assez réussie, aussi de la TV vue selon le ciné : inoffensif et festif…

  • Congo Murder (Marius Holst, 2018)

Vaine évocation de fait divers de frontière(s), interminable mélodrame/mystère doux-amer…

  • Compañeros (Álvaro Brechner, 2018)

Opus d’emprisonnement(s) pas déplaisant, mais réductible à un sensoriel exercice de style…

  • Profession du père (Jean-Pierre Améris, 2021)

Film fou sur la folie ? Plutôt téléfilm mélodramatique, aux prétentions pseudo-historiques…

  • OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire (Nicolas Bedos, 2021)

Comédie médiocre, où apercevoir la trop rare Natacha Lindinger, actrice très aristocratique…

  • Le Tueur de l’autoroute (Lodewijk Crijns, 2019)

Exercice de style, Duel gérontophile, à domicile, tendu, drôle, inconsistant, pas déplaisant…

  • Kaamelott : Premier Volet (Alexandre Astier, 2021)

Téléfilm bien nommé, car l’exégète de de Funès carbure à la camelote de parlote passéiste…

  • BAC Nord (Cédric Jimenez, 2021)

Mélodrame masculin assez anecdotique, son réalisme stylisé irrita des sociologues cannois…

  • Bloody Milkshake (Navot Papushado, 2021)

Des femmes flingueuses, des mecs massacrés : féminisme façon Netflix ? Fascisme infantile…

  • Ice Road (Jonathan Hensleigh, 2021)

La Tragédie de la mine + Le Salaire de la peur : la cinégénie de la neige n’anime le téléfilm…

  • Démoniaque (Rob Malenfant, 1998)

Co-produit par Talia Shire, un ersatz dispensable de Misery, à destiner aux fans de la dame…

  • La Cité de Dieu (Fernando Meirelles & Kátia Lund, 2002)

Filmée à l’esbroufe, une chronique pseudo-sociologique, qui jamais n’explique, n’implique…

  • American Nightmare 5 : Sans limites (Everardo Gout, 2021)

Un Alfredo Garcia démocrate ? Une fable antiraciste, à fond superficielle et impersonnelle…

  • Peau de banane (Marcel Ophuls, 1963)

Vengeance d’inconsistance du fils d’Ophuls, cornaqué par Pinoteau & Sautet ; Duras ricane…

  • Délicieux (Éric Besnard, 2021)

Révolutionnaire ? Mets réchauffé, téléfilmé, sinon savourer le visage de la cuisinière Carré…

  • Roar (Noel Marshall, 1981)

Vrai-faux survival fastidieux et familial, en exemple excessif de ciné-réalité daté, à insuccès…

  • La Charge de Syracuse (Pietro Francisci, 1960)

Péplum politique et psychologique plutôt sympathique, où Tina Louise Archimède électrise…

  • Boîte noire (Yann Gozlan, 2021)

Téléfilm documenté à interférences sous-traitées, tel un ersatz sonore du Icare de Verneuil…

  • Climax (Gaspar Noé, 2018)

« Fierté de film français » ? Whodunit anecdotique, ridicule, drolatique, soufflé désincarné…

  • L’Homme de la cave (Philippe Le Guay, 2021)

« Sale youpin », téléfilm de rien, ersatz fadasse, d’impasse, de l’obscur et clair Le Locataire

  • Stillwater (Tom McCarthy, 2021)

« La vie est brutale » : un cave, une cave, du côté de l’Oklahoma ou de Marseille, on ricane…

  • The Stuff (Larry Cohen, 1985)

Satire un peu insipide et poussive, moins émouvante et méta que celle de L’Aile ou la Cuisse

  • TAG : Le Jeu de l’assassinat (Nick Castle, 1982)

Petit thriller du pote de Carpenter, bien éclairé par Kurant, où Hamilton relooke Miss Bacall…

  • Les Passagers de l’angoisse (Tex Fuller, 1987)

Assaut meets E.T., l’extra-terrestre, voire Starman : aimable mélo (dé)muni d’(in)humanité…

  • Le Profileur (Michael Cohn, 1993)

Profileuse malheureuse + jumeau et jumelle manipulés à la truelle = téléfilm si cacochyme…

  • Le Camion de la mort (Harley Cokeliss, 1982)

Post-apo à propos de pétrole, démocratie démolie, romantisme à motocross : fable affable…

  • Les Exterminateurs de l’an 3000 (Giuliano Carnimeo, 1983)

Post-apo à propos d’eau, famille dé/recomposée, rédemption d’occasion : conte catholique…

  • Les Guerrières du futur (Cirio H. Santiago, 1988)

Post-apo à propos de parité, féminisme magnanime, fantastique pacifique : morale aimable…

  • Cold Comfort (Vic Sarin, 1989)

Matrice apocryphe de Misery ? Mélo/psychodrame drolatique et canadien jamais malsain…

  • Comment épouser un premier ministre (Michel Boisrond, 1964)

Le décor comme objet/sujet : divertissement de son temps et beau boulot de déco d’Evein…

  • … Comme la lune (Joël Séria, 1977)

Mémorable numéro de Marielle, très (bien) entouré par dames Daumier, Gaylor, Lavanant…

  • La Grande Maffia… (Philippe Clair, 1971)

Sommet de stupidité sous LSD ? Opus d’époque, comédie parfois réussie, souvent excessive…

  • Lust, Caution (Ang Lee, 2007)

Soap historico-sexuel téléfilmé à l’américaine, comme si M. Butterfly baisait Portier de nuit

  • Les Fleurs de Shanghai (Hou Hsiao-hsien, 1988)

Fix filmique, hypnotique ou soporifique, de jardinage marivaudage, où abondent dialogues…

  • Épisode 50 (Joe & Tess Smalley, 2011)

Soupçon de scepticisme ? Grosse dose de prosélytisme, pour ersatz insipide de Blair Witch

  • Wolf Town (John Rebel, 2011)

Wolfen en western ? Piètre psychodrame sentimental, casting riquiqui de MJC provinciale…

  • Espion(s) (Nicolas Saada, 2009)

Ersatz fadasse des Enchaînés, pas sauvé par la beauté, la douceur, la grâce de Miss Pailhas…

  • Les Bodin’s en Thaïlande (Frédéric Forestier, 2021)

Comédie dite exotique anecdotique à paradis d’OTSI, où découvrir la suave Bella Boonsang…

  • Être vivant et le savoir (Alain Cavalier, 2019)

Journal (de l’) intime filmé, comme chronique christique/anecdotique d’une mort annoncée…

  • L’Espion de la dernière chance (Werner Klinger, 1956)

« Tellement improbable » : Reinecker frise le révisionnisme malgré la solidité à l’allemande…

  • Diamante (Daniele Falleri, 2021)

« Magicien de merde » : (télé)film homonyme, au féminisme en famille et molto pro-homo…

  • Deadlock (Roland Klick, 1970)

Beau numéro de Mario, mais néo-western, en mode théâtre de l’absurde, lent/inconsistant…

  • L’amour chante (Robert Florey, 1930)

Vaudeville dédoublé, démodé, d’usurpation d’identité, faces foncées, succès, noces, CQFD…

  • Hiver 60 (Thierry Michel, 1983)

Reconstitution de conflit wallon comme docufiction, à forme chloroforme et archives vives...

  • La Dernière Énigme (F. J. Ossang, 1982)

Arrive tard, gare à Godard, étudie le terrorisme gauchiste façon Ardisson et sauce citations…

  • Le Petit Poucet (Michel Boisrond, 1972)

Transposition d’inspiration, merveilleux jamais mielleux, bestiaire sincère, mélancolie jolie…

  • Le Miracle de la mer des Sargasses (Syllas Tzoumerkas, 2019)

Petit policier téléfilmé, très longuet, au féminisme mâtiné de moralisme, sinon de cynisme…

  • Mes très chers enfants (Alexandra Leclère, 2021)

Bresson ? Bourdon. Richard ? Guichard. « Blagounette » ? Tristounette. Cinéma ? Pas de ça…

  • Histoire d’aimer (Marcello Fondato, 1975)

Comédie anecdotique in extremis féministe, doublée par Girardot, Monica ne démérite pas...

  • Norway (Yiannis Veslemes, 2015)

Ineptie arty ; si ceci symbolise le ciné grec d’aujourd’hui, il faut fissa le transfuser, en effet…

  • Ils (Jean-Daniel Simon, 1970)

Duchaussoy & Vanel, tandem amène, on s’ensommeille, vrai-faux téléfilm, d’ORTF occulte…

  • Programmé pour tuer (Allan Holzman, 1987)

Raciste et risible, minable et misogyne, sommet de stupidité assumée, Sandahl surnage…

  • The Time Traveller (Nico Mastorakis, 1984)

Ersatz de Starman ? Clone de Dead Zone ? Parousie d’apathie, bien éclairée et interprétée…

  • Lara Jenkins (Jan-Ole Gerster, 2019)

Corinna impeccable, comme d’hab, téléfilm risible, géométrisme germanique, psycho maso…

  • Qui a inventé l’amour ? (Kerstin Polte, 2018)

Affreuse et futile fumisterie féminine et féministe, infligée pour la fine et affable Harfouch…

  • Fait-divers (Claude Autant-Lara, 1923)

Vain vaudeville avant-gardiste à visionner rapido pour un rival fatal nommé Antonin Artaud…

  • Ménilmontant (Dimitri Kirsanoff, 1926)

Mélodrame indépendant pas déplaisant où découvrir le valeureux visage de Miss Sibirskaïa…

  • Morbius (Daniel Espinosa, 2022)

Vampirisme Marvel : Caïn & Abel à la truelle, acteur christique, CGI SyFy, cynisme de Sony…

  • Something Different (Věra Chytilová, 1963)

Duo tchéco, fatigue féminine, vrai-faux documentaire doux-amer, coda quasi conservatrice…

  • Mademoiselle Paradis (Barbara Albert, 2017)

Académisme d’Autriche, Campion & Russell, beau duo, freaks affables, pou-voir, fin destin…

  • The Death of a Horse (Saimir Kumbaro, 1992)

Heureux qui comme Ulysse + L’Aveu = mélodrame très didactique, tout sauf antipathique…

  • Solo Sunny (Wolfgang Kohlhaase & Konrad Wolf, 1980)

Portrait féminin assez anodin, mais jamais mesquin ; l’éphémère Renate Krößner n’indiffère…

  • La Première Folie des Monty Python (Ian MacNaughton, 1971)

Réchauffée, désargentée, une masse de blagues pas si (im)mortelles, dont sourire souvent…

  • Sommerfest (Sönke Wortmann, 2017)

Comédie romantique teutonique ? Téléfilm infime, pseudo-pittoresque, au moralisme rural…

  • Un balcon sur la mer (Nicole Garcia, 2010)

Après le viandage de L’Adversaire, la téléaste persévère : Hitchcock s’en moque, nous itou…

  • The Wayward Girl (Edith Carlmar, 1959)

Idylle pas idyllique, drame drolatique, coda conservatrice, Ullmann, sans mal, surpasse BB…

  • Derborence (Francis Reusser, 1985)

Essai raté de lyrisme suisse, vraie-fausse ethnographie fataliste, beau boulot d’Isabel Otero…

  • Les Compagnons de la marguerite (Jean-Pierre Mocky, 1967)

Mocky mineur constamment amusant d’anarchisme administratif et de chance d’échange…

  • Aux sources du Nil (Bob Rafelson, 1990)

Académique, drolatique, doloriste, assez lucide, homo sotto et beau boulot de Fiona Shaw…

  • Je suis à prendre (Francis Leroi, 1978)

Pas le meilleur de l’auteur, Brigitte ne démérite, beau boulot du dirlo photo François About…

  • Lustful Feelings (Kemal Horulu, 1977)

X narratif à héroïne féministe, miroirs multiples, bande-son compilation, décès dédoublés…

  • La Sentinelle (Arnaud Desplechin, 1992)

Pensum pseudo-politique, caractéristique de l’auteurisme français surfait et subventionné…

  • Abuela (Paco Plaza, 2022)

Gérontophobie riquiqui, qui méconnaît la grand-mère de Haneke et dut désoler Kev Adams…

  • Le Temps des seigneurs (Oskar Roehler, 2018)

Comédie noire et de classe pas dégueulasse, au casting impeccable, on applaudit Masucci…

  • Angle mort (Geoff Murphy, 1993)

En salles ici sorti, téléfilm infime qui prête aux riches, cependant bien servi par un beau trio…

  • Les Hommes le dimanche (Robert Siodmak & Edgar G. Ulmer, 1930)

Wilder avant Hitler, Ruttmann en moins méca, érotisme et mélancolie, essai à succès aussi…

  • Les Sans-dents (Pascal Rabaté, 2022)

Scola & Tati ? Annaud & Hollande ? Marx & Koons ? Comédie anecdotique, très anémique…

  • Le Sorcier et le Serpent blanc (Tony Ching, 2011)

Green Snake demeure indépassable mais cette version aux effets SyFy ne manque de grâce…

  • Tempête sous la mer (Robert D. Webb, 1953)

Maritime mélodrame musiqué par Herrmann : ils pêchent l’éponge et le spectateur la jette…

  • E.T., l’extra-terrestre (Steven Spielberg, 1982)

Excellence de Williams, douceur de Dee, babiole de Rambaldi et tire-larmes très imparable…

  • Carancho (Pablo Trapero, 2010)

Desservi via une VF foireuse, un mélodrame interminable et (in)digne des Dardenne, amen

  • Coupez ! (Michel Hazanavicius, 2022)

Comédie consensuelle à la truelle, au méta familial, au collectif infime, façon falot Truffaut…

  • Elle (Paul Verhoeven, 2016)

Comédie noire assez divertissante où Isabelle (s’) amuse beaucoup, patrone déjà daronne….

  • Le Traître (Marco Bellocchio, 2019)

Fresque réchauffée, opus de procès, reconstitution réduite à fiction face aux vives archives…

  • Les Éternels (Jia Zhangke, 2018)

Portrait de femme pas déplaisant mais peu consistant, en écho au travail de Wong Kar-waï…

  • Flee (Jonas Poher Rasmussen, 2021)

S’enfuir, se fuir, se rencontrer, se raconter, récit psy, informatif, subjectif, essai assez réussi…

  • The Ukrainian Cannibal (Petr Jákl, 2015)

Biopic de Poutine ? Bouillie décérébrée, racisme candide, sorte de Borat à Blair Witch, oui…

  • The Northman (Robert Eggers, 2022)

Réchauffé lisse filmé, Kidman domine en sourdine, mère douce-amère, féministe et féroce…

  • Doctor Strange in the Multiverse of Madness (Sam Raimi, 2022)

Servie ainsi la soupe paraît presque supportable ; mère incendaire, suicidaire, Olsen séduit…

  • She Didn’t Say No! (Cyril Frankel, 1958)

Comédie dramatique, certes anecdotique, doucement audacieuse et gentiment généreuse...

  • Charles et Lucie (Nelly Kaplan, 1979)

Comédie dramatique, certes anecdotique, de rien(s), de destin, Ceccaldi & Garcin très bien…

  • Un cri dans l’océan (Stephen Sommers, 1998)

Divertissement amusant, d’ethnique hétéroclite, darwinisme humide, capitalisme en crise…

  • Couple modèle (Peter Askin, 2014)

King par King : téléfilm très pusillanime, pourtant la paire Allen & LaPaglia ne démérite pas...

  • Compétition officielle (Mariano Cohn & Gastón Duprat, 2022)

Construite avec un logiciel d’architecte(s), une satire statique, insipide, poussive et sinistre…

  • Petite fleur (Santiago Mitre, 2022)

Routine stérile + répétition rédemption + romantisme meurtrier = piètre pensum téléfilmé…

  • Le Sang du pélican (Katrin Gebbe, 2019)

Interminable mélodrame de téléfilm féministe à traumatisme et exorcisme où Hoss assure…

  • Le Commando des morts-vivants (Ken Wiederhorn, 1977)

Brooke bikini, Carradine capitaine, Cushing reclus : survival estival, slasher SS, film infime…

  • Vive les femmes ! (Claude Confortès, 1984)

Comédie chorale conviviale de Reiser doux-amer ; on en pince/fond pour Leprince & Lafont…

  • Scary Movie 4 (David Zucker, 2006)

Parodie poussive, à caricatures au carré (Bush & Cruise) ; pour les fanas d’Electra & Farris…

  • Karate Tiger (Corey Yuen, 1985)

Opus œdipien + fantôme fameux = film facile sur les corps, leur effort, inconfort, réconfort…

  • C.H.U.D. (Douglas Cheek, 1984)

Satire sociale US style Invasion Los Angeles ? Languissant survival souterrain assez anodin...

  • Terror Clinic (Carl Schenkel, 1995)

Le prologue impressionne, la suite s’avère vite anecdotique, en dépit d’une piscine intime…

  • El buen patrón (Fernando León de Aranoa, 2022)

Beau boulot de Bardem (des)servi via un véhicule vain, car comédie noire quasi cacochyme…

  • Derrière les murs (Julien Lacombe & Pascal Sid, 2011)

Mélodrame maternel mis en plis et non plus mis en scène au casting (in)digne d’un téléfilm…

  • Musarañas (Juanfer Andrés & Esteban Roel, 2014)

Mélodrame domestique certes superficiel, mais Gómez ne démérite en émule de K. Bates…

  • Deux (Filippo Meneghetti, 2019)

Thriller saphique tout sauf antipathique, aux trois actrices complices, et pourtant lénifiant…

  • Costa Brava, Lebanon (Mounia Akl, 2022)

Chronique écologique et autarcique, tout sauf antipathique, toutefois bien trop soporifique…

  • La Dégustation (Ivan Calbérac, 2022)

Téléfilm frelaté d’orphelin en foyer, SDF éduqués, paternelle culpabilité, PMA hispanisée…

  • Delphine (Éric Le Hung, 1969)

Ratage d’un autre âge, mélo sentimentalo-socio, malgré l’estimable, bien belle Dany Carrel…

  • L’Invitée (Vittorio De Seta, 1969)

Boucle bouclée d’adultère désenchanté à double couple de (dé)route, pour fana de Joanna…

  • Nuit de chien (Werner Schroeter, 2008)

Produit culturel européen presque camusien d’uchronie collective théâtrale et dispensable…

  • La Villa (Robert Guédiguian, 2017)

Mélodrame familial et sociétal interminable et dispensable, apathique comme l’aphasique…

  • Le Poids du déshonneur (Barbet Schroeder, 1996)

Trop gros mélodrame familial, qui ne prête qu’aux riches, au cast correct et à la bonne BO…

  • La Loi des hommes (Charles Gérard, 1962)

Curiosité assez soignée, malin Jardin, crime comme art, femme fuyarde, morale d’asphalte…

  • Evil Angel (Richard Dutcher, 2009)

Dynamique divertissement édifiant et indépendant pas déplaisant éclairé par un grand DP…

  • L’Homme d’Istanbul (Antonio Isasi-Isasmendi, 1965)

Eurospy touristique et drolatique, où Buchholz se démène comme d’abord Belmondo à Rio…

  • El cuerpo (Oriol Paulo, 2012)

Puzzle hispanique, vengeance machiavélique, interprétation correcte, réalisation suspecte…

  • Death Kiss (Rene Perez, 2018)

Vraie-fausse bronsonerie indie, à discours droitistes et culpabilité partagée : cinésimulacre..

  • Au bout du tunnel (Rodrigo Grande, 2016)

Huis clos psycho de familial mélo et thriller étiré à local succès : à voir un soir, oublier après…

  • Les Trois Crimes de West Memphis (Atom Egoyan, 2013)

Inédit ici, un téléfilm très inutile qui ressuscite un fait divers très sordide et radote des docs…

  • Clayton l’Implacable (Paolo Bianchini, 1968)

Coprod pas si conne, toutefois figée : découvrir le doloriste Hill, admirer la déterminée Lea…

  • Le Tigre et le Président (Jean-Marc Peyrefitte, 2022)

Téléfilm à manichéisme/révisionnisme politiquement corrects, psychologiquement ineptes…

  • Un p’tit gars de Ménilmontant (Alain Minier, 2013)

Téléfilm (in)digne de TF1, souvent risible et pas même rédimé par quatre dames estimables…

  • Africa Express (Michele Lupo, 1976)

Gemma se démène, Andress le séduit, Palance veut sa revanche : exotique et anecdotique…

  • L’Or du Hollandais (Delmer Daves, 1958)

Antiracisme + pragmatisme = western inoffensif, mais beau boulot du duo Borgnine/Jurado…

  • La Cadillac de Dolan (Jeff Beesley, 2009)

À l’épouse le courage, au mari l’outrage : moralité sexuée de piège poesque hélas insipide…

  • Killer Crocodile (Fabrizio De Angelis, 1989)

Croco, écolos, maillots, chapeau maestro, chasse d’occase, cri d’anthologie, fidèle de Fulci…

  • La Tente rouge (Mikhaïl Kalatozov, 1969)

Auto-procès plus sartrien que stalinien de très dispensable superproduction d’auto-pardon…

  • Revoir Paris (Alice Winocour, 2022)

Interminable mélodrame démuni du moindre mystère, aussi compassionnel que superficiel…

  • Enfant terrible (Oskar Roehler, 2020)

Choral/théâtral biopic anecdotique passé à côté du sujet : créateur et contemporain capital…

  • Un divan à Tunis (Manele Labidi, 2019)

Comédie dramatique féminine et infime démunie de misandrie et non dénuée de lucidité…

  • Les Jeunes Loups (Marcel Carné, 1968)

Désavoué par d’inintéressants intéressés, ratage de son âge, risible, insipide, pseudo-socio…

  • Le Feu dans la peau (Marcel Blistène, 1954)

Gros mélo en écho à Vertigo : ce Marcel se prend presque pour Pagnol qui rigole, nous itou…

  • Elles deux (Márta Mészáros, 1977)

« Sujet pour adolescentes » ? Véhicule pour la valeureuse Vlady, épouse orpheline et libre…

  • Eat Locals (Jason Flemyng, 2017)

Vampirisme collectif inventif et inoffensif, souvent amusant, au casting choral impeccable…

  • Le Sixième Enfant (Léopold Legrand, 2022)

Quel cacochyme téléfilm de mélodrame maternel et de quasi conte de Noël très à la truelle…

  • Plancha (Éric Lavaine, 2022)

Sautet ressuscité ? Bobos bretons, placement de produit, problème d’ADN, moche téloche…

  • Une avalanche de cadeaux (Vanessa Jopp, 2007)

Beau duo de Gedeck & Ferch dans une comédie domestique de whodunit très anecdotique…

  • Dylan Dog (Kevin Munroe, 2011)

Davantage qu’un ratage, un naufrage en forme d’outrage, vis-à-vis de Sclavi & Soavi, oh oui…

  • Jusqu’aux coudes (Justus von Dohnányi, 2007)

Téléfilm infime entre amis mais sans énergie comme tourné avec un téléphone à la gomme…

  • Mascarade (Nicolas Bedos, 2022)

Cynisme, sentimentalisme, procès, passé, putes, pigeons, colère, chagrin : du téléfilmé rien…

  • Space Dogs (Elsa Kremser & Levin Peter, 2019)

Des chiens, un chat, deux singes/tortues, des rues, des Russes : fable faiblarde peu bavarde…

  • J’ai oublié de te dire (Laurent Vinas-Raymond, 2010)

L’émouvant Omar et l’aimable Émilie d’un mélodrame rural à faire ricaner Haneke, pas que…

  • Quand nous étions sorcières (Nietzchka Keene, 1990)

Adaptation pasteurisée d’un conte de cruauté, à la sorcellerie arty, anémique, arythmique…

  • Home (Franka Potente, 2020)

Conte catho tout sauf falot, car l’actrice énergique et sensible esquisse ceci avec empathie…

  • La Victime (Basil Dearden, 1961)

Plaidoyer pro domo/thriller gay friendly, culpabilité partagée/passivité dépassée, film facile…

  • Moonrise Kingdom (Wes Anderson, 2012)

Monde (selon) d’Anderson, acclamé control freak : tragi-comique, anémique, anecdotique…

  • Pétrole ! Pétrole ! (Christian Gion, 1981)

Comédie anecdotique en dépit de la choc et chic Catherine Alric, car ersatz du rabbi d’Oury…

  • Couleurs de l’incendie (Clovis Cornillac, 2022)

Essai raté de fresque romanesque, au scénario falot, démuni d’enjeux dangereux ou joyeux…

  • Colonel Redl (István Szabó, 1985)

Biopic politico-psychologique, plus académique que classique ; anticipe l’hypnotique Tabou

  • The Tower (Kim Ji-hoon, 2012)

Vrai-faux remake du Guillermin, filmé à l’esbroufe et desservi via la masse vide de ses CGI…

  • Submarine (Richard Ayoade, 2011)

Tragi-comédie adolescente pas déplaisante pourtant trop auto-consciente pour passionner…

  • Made in France (Nicolas Boukhrief, 2016)

Film prophétique ? Thriller léthargique, encore de masculine communauté très tourmentée…

  • Superfast! (Jason Friedberg & Aaron Seltzer, 2015)

Parodie presque réussie, ersatz des bandes déjà inconsistantes des ZAZ, Mirojnick accessit

  • Espion et demi (Betty Thomas, 2003)

Vide et vain véhicule à destination du démuni Murphy, mais la Janssen égale (à) elle-même…

  • Les Engagés (Émilie Frèche, 2022)

Frèche téléfilme des fesses, prend fait et cause de mélo morose : sous-ciné à dé(sen)gager…

  • Un été d’enfer (Mickaël Schock, 1984)

Modèle scolaire de comédie involontaire, qui accumule le ridicule, frise ainsi la sympathie…

  • Le Bonheur juif (Alexis Granowsky, 1925)

Comédie communautaire ? Curiosité soignée de mariage arrangé, au commerce doux-amer…

  • Retour à la bien-aimée (Jean-François Adam, 1979)

Vaudeville languide, qui se voudrait lyrique : la belle direction photo ne fait le bon huis clos…

  • Noblesse oblige (Robert Hamer, 1949)

Satire statique, à vaine vengeance + féminité multipliée : ne rime avec Lewin ni Mankiewicz…

  • Bloodthirsty (Amelia Moses, 2021)

Produit indie, très LGBT, à féminisme métaphorique, producteur Paradise : long et concon…

  • Le Témoin (Péter Bacsó, 1969)

Comédie politique plutôt sympathique, certes, mais, aussi, assez superficielle et longuette…

  • Ogre (Arnaud Malherbe, 2022)

Régionalisme métaphorique, incapable d’incarner ses thèmes dits d’actualité ou d’éternité…

  • Un plan d’enfer (Pete Hewitt, 2009)

Casse de troisième âge, où la vie surpasse l’art sur le tard : casting solide et film insignifiant…

  • El reino (Rodrigo Sorogoyen, 2019)

Opus hyperactif, revoilà Rosetta, et dénué de l’analyse qu’exige sa journaliste moralisatrice…

  • The Middle Man (Bent Hamer, 2021)

Comédie noire qui s’autorise à émouvoir, au casting intrépide : petite réussite sympathique…

  • Le Menu (Mark Mylod, 2022)

Fabuleux, Ralph Fiennes amuse/émeut, mais ce massacre macabre manque de style, d’âme…

  • La Jeune Fille et la Brume (Andrés M. Koppel, 2017)

Téléfilm touristique soporifique d’impondérables improbables, de femmes deux fois fatales…

  • Not Forgotten (Dror Soref, 2009)

A History of Violence dévie vers Angel Heart : pas vraiment captivant, casting assez solide…

  • Alarme fatale (Gene Quintano, 1993)

Parodie poussive, qui parfois déride, et ne vaut, en définitive, que pour ses caméos rigolos…

  • Ainsi va la vie (Rob Reiner, 2014)

Comédie romantique très anecdotique, où Diane Keaton s’époumone et Douglas s’adoucit…

  • Hannibal (Edgar G. Ulmer, 1959)

Petit péplum pas si puéril et plutôt plaisant, en dépit d’évidents tripatouillages de montage…

  • L’Affaire Al Capone (Roger Corman, 1967)

Corman reconstitue, la Fox finance, Robards cabotine : récit obsolète tombé aux oubliettes…

  • Têtes de pioche (John G. Blystone, 1938)

Commencée en drame amical et martial, une comédie du mariage domestique et physique…

  • Les Trois Mousquetaires/On l’appelait Milady (Richard Lester, 1973/1974)

Casting choral impeccable, direction artistique indiscutable, absence de souffle et de style…

  • Mon héroïne (Noémie Lefort, 2022)

Se faire des films, tante, mère, fille, filmer l’autobiographie jolie : américanophile et inutile…

  • 13 Fantômes (Steve Beck, 2001)

Mélodrame familial d’esprits asservis, dévié vers le survival de transparence, inconsistance…

  • Par-dessus les moulins (Mario Camerini, 1955)

Conte démocratique drolatique et coloré, à filigrane féministe et au casting quatuor en or…

  • Antoinette dans les Cévennes (Caroline Vignal, 2020)

Balthazar au hasard ? Stevenson à la gomme.

  • Police (Anne Fontaine, 2020)

Psychologisme moraliste qui ne prête qu’aux riches.

  • Les Sorcières de Zugarramundi (Álex de la Iglesia, 2013)

Casting choral convivial de guerre des sexes alerte.

  • Le Petit Lord Fauntleroy (John Cromwell, 1940)

Conte consensuel et académique by Selznick.

  • Les Parfums (Grégory Magne, 2020)

Feel good movie insipide, sans cœur ni odeur.

  • Birds of America (Jacques Lœuille, 2020)

Du chef-d’œuvre d’Aubudon à une série d’extinctions.

  • Little Bird (Boudewijn Koole, 2012)

Chronique anecdotique au parallélisme simpliste.

  • Feu follet (João Pedro Rodrigues, 2022)

Comique, chorégraphique, beaucoup trop anecdotique.

  • Donne-moi des ailes (Nicolas Vanier, 2019)

Téléfilm infantile où rien ne sonne tel Holgerson.

  • Grave (Julia Ducournau, 2016)

Cannibalisme sexué comme du Cronenberg mal digéré.

  • Garou Garou, le passe-muraille (Jean Boyer, 1951)

Conte hétéroclite et moralisateur aux bons acteurs.

  • Censor (Prano Bailey-Bond, 2021)

Mélodrame féminin trop lynchien sauvé via son actrice.

  • Monte là-dessus (Fred C. Newmeyer & Sam Taylor, 1923)

Illusion, ascension, coup de tête, coup de pub.

  • Amityville 2 : Le Possédé (Damiano Damiani, 1982)

L’Enfer sur Terre ? Une famille de maudits à la Visconti.

  • Off Season (Mickey Keating, 2022)

Femmes en reflet : un peu atmosphérique, très anecdotique.

  • La Moindre des choses (Nicolas Philibert, 1997)

Folie fadasse percée d’accès de complicité, de lucidité.

  • Samoa, fille sauvage (Guido Malatesta, 1968)

Fenech se fait désirer dans ces aventures éventées.

  • Tropique du Cancer (Edoardo Mulargia & Giampaolo Lomi, 1972)

Vain vaudeville à vaudou relou et racisme moraliste.

  • Proxima (Alice Winocour, 2019)

Médiocre mélodrame maternel mais viva Eva.

  • The Power (Corinna Faith, 2021)

Hystérie et misandrie de huis clos pseudo socio-historique.

  • La Cabane dans les bois (Drew Goddard, 2011)

Weir & Duvivier à la Lovecraft : autarcique et anecdotique.

  • La Mère (Vsevolod Poudovkine, 1926)

Estimable mélodrame au lyrisme à la Griffith.

  • Il Boemo (Petr Václav, 2023)

Biopic un brin Kubrick aux femmes fréquentables mais téléfilmées.

  • Dernière nuit à Milan (Andrea Di Stefano, 2023)

Cette traversée des apparences manque de substance mais pas de prestance.

  • Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan (Martin Bourboulon, 2023)

Europudding à la pseudo-immersivité de simili ciné.

  • Noir comme le souvenir (Jean-Pierre Mocky, 1995)

Conte de fées et d’effroi familial trop bancal.

  • Les Jardins du roi (Alan Rickman, 2014)

Mélodrame maternel œcuménique au féminisme soft.

  • Piggy (Carlota Pereda, 2022)

Romance monstre aux cadres rigides et morale vide.

  • Broadcasting Signal Intrusion (Jacob Gentry, 2021)

Vidéodrome rencontre 8 mm ? Œuvrette inepte.

  • Un vrai crime d’amour (Luigi Comencini, 1974)

Tragi-comédie sentimentale et sociale bien bancale au couple impeccable.

  • Pulse (Sergii Chebotarenko, 2021)

Biopic pénible et prévisible au nationalisme in extremis.

  • All the King’s Men (King Hu, 1983)

Comédie noire à tiroirs de pouvoir illusoire.

  • Projet Wolf Hunting (Kim Hong-seon, 2023)

Survival naval à gore hardcore et bazar revanchard.

  • Invictus (Clint Eastwood, 2009)

Hagiographique, œcuménique, aux ralentis catastrophiques : pas Wales, hélas.

  • La Cage (Pierre Granier-Deferre, 1975)

Passable survival sexué à l’actrice et à l’acteur de valeur.

  • Flic Story (Jacques Deray, 1975)

Proto-Heat historique, moins hiératique que mélancolique.

  • Mort d’un pourri (Georges Lautner, 1977)

Ordre ou désordre ? Amitié, fidélité : du bon Delon.

  • Reste un peu (Gad Elmaleh, 2022)

Elmaleh by Elmaleh : giron, religion, « Doudou » pas trop relou.

  • Le Temps des secrets (Christophe Barratier, 2022)

Provence Ricoré, secrets aseptisés, qu’à Pagnol on foute la paix.

  • Funny Games (Michael Haneke, 1997)

Exercice de style statique et poussif avec actrice expressionniste.

  • N°10 (Alex van Warmerdam, 2023)

Triangle théâtral, SF anticléricale, indépendance sans substance.

  • L’Esprit de la ruche (Victor Erice, 1973)

Conte historique anémique : beau boulot photo, viva Ana.

  • Lost in the Night (Amat Escalante, 2023)

Soap insipide aussi superficiel que ses pseudo-personnages.

  • Lost Country (Vladimir Perišić, 2023)

Mélodrame à programme, surcadré, sans ambiguïté.

  • La Vie de château (Jean-Paul Rappeneau, 1966)

Matrice apocryphe du Vieux Fusil ? Divertissement d’un autre temps.

  • Les Créatures (Agnès Varda, 1966)

Prototype du Déclic ? Réflexion à la con sur la création.

  • La vie est un roman (Alain Resnais, 1983)

Resnais émule de Demy ? Comédie politique et ludique assez sympathique.

  • Tempête (Christian Duguay, 2022)

Gros mélo avec des chevaux et filmé à l’américaine.

  • Racket (John Mackenzie, 1981)

Thriller satirique et dynamique, porté par un couple impérial et impeccable.

  • Anselm : Le Bruit du temps (Wim Wenders, 2023)

Éloge assez élégant d’artiste assez intéressant.

  • Allons enfants (Thierry Demaizière & Alban Teurlai, 2021)

Troupe dépourvue d’entourloupe d’hagiographie jolie.

  • La Comédie humaine (Kōji Fukada, 2008)

Les languissants faux-semblants des sentiments.

  • Le Garçon et le Héron (Hayao Miyazaki, 2023)

Mononoké rencontre Chihiro : testament traumatique et pragmatique.

  • La Passion de Dodin Bouffant (Trân Anh Hùng, 2023)

Mélodrame gastronomique et exercice de style autarcique.

  • The Old Oak (Ken Loach, 2023)

Mélodrame œcuménique d’épiphanie et de nostalgie.

  • Dune (Denis Villeneuve, 2021)

Hiératisme, romantisme, scepticisme : pasteurisation nolanisation.

  • Et la fête continue ! (Robert Guédiguian, 2023)

Téléfilm sentimentaliste aux citations de bande-son à la con.

  • Crépuscule à Tokyo (Yasujirō Ozu, 1957)

Mélodrame familial à combustion lente et coda quasi clémente.

  • Simple comme Sylvain (Monia Chokri, 2023)

Lelouch croise Jaoui & Bacri au Québec : « rom com » presque suspecte.

  • Les Autres (Alejandro Amenábar, 2001)

Fantômes xénophobes, mère propriétaire, déni et deuil : mélodrame métaphore.

  • L’Enlèvement (Marco Bellocchio, 2023)

Un syndrome de Stockholm surprenant et séduisant, tendu et bien vu.

  • Mars Express (Jérémie Périn, 2023)

Dans l’espace, tout le monde vous voit recycler : ligne claire cache-misère.

  • Bonjour (Yasujirō Ozu, 1959)

Gosses de Tokyo croise Persona : chronique comique, scatologique et mélancolique.

  • Lune froide (Patrick Bouchitey, 1991)

Comédie noire en noir et blanc, plutôt plaisante, conclue/bouclée en… queue de poisson(e).

  • La Rivière (Dominique Marchais, 2023)

Documentaire communautaire, écologique et anecdotique, aussi plat et falot qu’un ruisseau.

  • Impulso (Emilio Belmonte, 2017)

Se perdre (sur scène) pour se (re)trouver : CQFD chronométré d’une danseuse audacieuse.

  • 17 Blocks (Davy Rothbart, 2021)

Documentaire doux-amer de fils et de mère, au footage en famille, au souci de sociologie.

  • Black Panther (Ryan Coogler, 2018)

(Se) servir versus (se) sauver : Malcolm X contre MLK et déconseillés aux plus de douze ans.

  • Ganja & Hess (Bill Gunn, 1973)

Comédie dark et datée, plus théâtrale qu’expérimentale, qu’anime et illumine Miss Marlene.

  • Le Peuple Loup (Tomm Moore & Ross Stewart, 2020)

Cette réussite esthétique associe et revisite une humaine animalité, un nationalisme irlandais.

  • Perfect Days (Wim Wenders, 2023)

Le Samouraï à Tokyo, à vélo, aux toilettes, en cassettes, sourire humide, entre visite et vide.

  • Le Goût du saké (Yasujirō Ozu, 1962)

Alcoolisme et mariage, deux manières douces-amères de remédier à une solitude partagée.

  • Notre-Dame brûle (Jean-Jacques Annaud, 2022)

Vrai-faux documentaire filmé/monté comme Les Visiteurs : catastrophe et catastrophique.

  • Winter Break (Alexander Payne, 2023)

Conte de Noël pas trop à la truelle, pourtant très superficiel : Pagnol fit mieux et plus rugueux.

  • The Survival of Kindness (Rolf de Heer, 2023)

Allégorie antiraciste et ersatz de Gerry : de quoi rendre quasi dynamique Le Temps du loup.

  • Monstres gentils (László Csuja & Anna Nemes, 2022)

Mélodrame musclé mais anémié, téléfilmé, à visionner en accéléré, car actrice authentique.

  • La Beauté du diable (René Clair, 1950)

Fantastique français, fataliste et existentialiste, où les miroirs donnent à voir la guerre d’hier.

  • Ennio (Giuseppe Tornatore, 2022)

Documentaire certes scolaire et lacunaire, mais néanmoins nécessaire et plus doux qu’amer.

  • Mystère (Denis Imbert, 2021)

Téléfilm anonyme, au tourisme auvergnat vaguement vulgaire, démuni du moindre… mystère.

  • En corps (Cédric Klapisch, 2022)

Téléfilm très merdique, dont le moralisme et la médiocrité cristallisent un certain ciné français.

  • L’Évadée (Arthur D. Ripley, 1947)

La magnétique Michèle Morgan chez le romantique Cornell Woolrich : de la peur et du cœur.

  • Brooklyn (John Crowley, 2015)

Mélodrame sentimental, lacrymal et infinitésimal, à la reconstitution pleine de pasteurisation. 

  • 16 levers de soleil (Pierre-Emmanuel Le Goff, 2018)

Dans l’espace, rien ne se (dé)passe, à part cet ersatz, très fadasse, d’une odyssée indépassée. 

  • Inside Llewyn Davis (Ethan & Joel Coen, 2013)

Biopic anémique d’un perdant supposé charismatique, comme un Honkytonk Man sans âme.

  • En attendant Bojangles (Régis Roinsard, 2022)

Mélodrame humoristique au thème désamorcé, dilué, trop ripoliné, écœurant, pas émouvant.

  • Universal Theory (Timm Kroeger, 2024)

Palimpseste alpestre, sincère et mortifère, très soigné, qui ne rivaliserait jamais avec La Jetée.

  • Calamity : Une enfance de Martha Jane Cannary (Rémi Chayé, 2020)

Jouant sur le genre, western amène mais superficiel, au féminisme soft et fauvisme inoffensif.

  • Blue Giant (Yuzuru Tachikawa, 2024)

Épuisant d’énergie, masculin mélodrame à sueur et larmes, pianiste/compositrice cosmique.  

  • Maigret (Patrice Leconte, 2022)

Dépressif et endeuillé, Depardieu domine un téléfilm anecdotique presque autobiographique.

  • Il reste encore demain (Paola Cortellesi, 2024)

Cinéma simulacre d’interminable mélodrame à programme d’émancipation par procuration.

  • Dans la peau de Blanche Houellebecq (Guillaume Nicloux, 2024)

Comédie anticolonialiste assez sinistre et film de famille qui ne défrise car flirte avec l’infantile.

  • Vampire humaniste cherche suicidaire consentant (Ariane Louis-Seize, 2024)

Comédie dramatique très anémique et démunie de rythme, aussi apprêtée qu’une publicité.  

  • Douleur et Gloire (Pedro Almodóvar, 2019)

Statique et sympathique, un reflet recréé, disons doublon du meilleur La Mauvaise Éducation

  • Le Règne animal (Thomas Cailley, 2023)

Fable affable ? Téléfilm œcuménique et régionaliste aux effets spéciaux toutefois assez réussis

  • Killers of the Flower Moon (Martin Scorsese, 2023)

Épopée de manipulation/dépossession ? Téléfilm cacochyme, spectacle patraque pour Ehpad 

  • Anatomie d’une chute (Justine Triet, 2023)

Preminger même pas peur : portrait de femme/film de procès surévalué, aussi stérile que vide 

  • LaRoy (Shane Atkinson, 2024)

Le prologue fonctionne puis ce film inoffensif s’effondre à suivre son programme de massacre

  • Drive My Car (Ryūsuke Hamaguchi, 2021)

Produit culturel très consensuel, à la pseudo-sagesse existentielle, diluée durant longtemps

  • La Loi de Téhéran (Saeed Roustayi, 2019)

Duel de mecs peu essentiel, téléfilmé à l’américaine, au prologue dynamique et symbolique

  • Bushman (David Schickele, 1971)

Shadows à Frisco ? Daté et divisé, un docufiction de bon ton, affable et toutefois dispensable

  • La Salle des profs (İlker Çatak, 2023)

Chemisiers enchaînés, Oskar roi de coda : Dossier de l’écran allemand, consensuel et kolossal  

  • L’Enfer des loups (Paco Plaza, 2004)

Une romantique camelote avec un casanova lycanthrope, souvent risible et toujours téléfilmée 

  • Civil War (Alex Garland, 2024)

Pensum picaresque, didactique et dystopique : Spottiswoode & Dante s’endorment tranquille 

  • Eye of the Tiger (Richard C. Sarafian, 1986)

Le bon Busey, endeuillé, équipé, s’occupe dare-dare de dealeurs motards : téléfilm simpliste 

  • Django (Étienne Colmar, 2017)

Biographie naphtalinée/trafiquée d’un « singe savant » (dés)engagé découvrant l’engagement  

  • The Gate (Tibor Takács, 1987)

Cauchemar banlieusard, démons mignons, amour toujours : sympathique petit film inoffensif  

  • La Méthode Williams (Reinaldo Marcus Green, 2021)

Success story très consensuelle, pas assez cruelle, long rêve (afro-)américain démuni d’entrain

  • Satanic (Jeffrey G. Hunt, 2016)

Tourisme morbide, plan à trois patatras, double trouble :  un piège indépendant peu palpitant 

  • See for Me (Randall Okita, 2021)

Audrey Hepburn peut dormir tranquille, malgré le réalisme de l’actrice, au cynisme in extremis

  • Mara (Clive Tonge, 2018)

Olga se débat face à un Freddy indéfini : Jennifer savait mieux faire avec le criminel de The Cell

  • Don’t Be Afraid of the Dark (Troy Nixey, 2011)

La belle-mère pas marâtre finit au fond de l’âtre : Holmes incertaine, gnomes à la Harryhausen 

  • My Soul to Take (Wes Craven, 2010)

Prologue prometteur, à personnalités multiples, puis succédané insipide d’un certain Scream 

  • Gorgo (Eugène Lourié, 1961)

Maternel mélo à moitié (humaine) homo, qui ferait se croiser au sommet King Kong & Godzilla

  • Les Maléfices de la momie (Michael Carreras, 1964)

Presque Lola Montès au pays de Ramsès : romantique et sympathique divertissement d’antan

  • La Crypte du vampire (Camillo Mastrocinque, 1964)

Revoilà Carmilla via des zooms façon Franco, du noir et blanc assez élégant, une coda climax 

  • Le Tour du monde de Sadko (Alexandre Ptouchko, 1953)

Moins morose que Le Magicien d’Oz, odyssée musicale et symboliste, au nationalisme assumé  

  • The Dark (John Bud Cardos, 1979)

Du prototype très stupide (et citadin) de The Thing que pouvait faire le viré Hooper ? Mystère    

  • La Maison de la brume (Francisco Lara Polop & Pedro Lazaga, 1972)

Crapuleux complot, Castle & Clouzot, troupe d’entourloupe : atmosphérique et anecdotique    

  • Santosh (Sandhya Suri, 2024)

Téléfilm moins indien qu’européen, aux hommes morts et amoureux ou vivants et dangereux

  • Oppenheimer (Christopher Nolan, 2023)

Biopic épique ? Vrai film de faux procès, démuni de la moindre subtilité, surmusiqué et longuet

  • Yesterday (Danny Boyle, 2019)

Jean-Philippe britannique ? Relecture des Red Shoes ? Portrait d’imposteur très moralisateur 

  • Au bord du monde (Claus Drexel, 2014)

La beauté Bohringer/le fiasco Hidalgo, Wagner & Puccini, solitude et survie – constat contraste

  • Planète Méditerranée (Gil Kébaïli, 2020)

Cousteau rencontre Star Trek : immersion(s) en réunion à l’écologie et l’ethnologie trop jolies 

  • Miss (Ruben Alves, 2020)

Téléfilm prosélyte ? Comédie (mélo)dramatique œcuménique d’androgynie bien loin du génie

Commentaires

  1. Dégoûts et des coups leurres...comme qui dirait, on ne discute pas,
    peut-être serait-il en guise d'ouverture, je parle pour ma pomme là,
    outre le fait de dire ce qu'on aime ou pas,
    (et quand c'est de manière forte ça veut toujours dire souvent beaucoup ...
    de non-dit),
    de voir autrement selon...
    par exemple non exhaustif, ( Avec votre connaissance encyclopédique des films et de leurs auteurs, acteurs, ce serait une lecture nourrissante...pour l'esprit...)
    le contexte historique, les questions posées ou non posées par et dans le film, les acteurs et leurs obligation de ...
    le cinéma est idéologique presque par "nature", une image fantomatique du réel...
    ou comment se nourrir des films ratés, ou vus comme tels,
    l'échec étant parfois un sacré tremplin...

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    1. Cela peut m'arriver parfois, pourtant trop peu de temps devant moi, afin d'analyser à satiété ces avérés navets, suivant la vérité de ma subjectivité, voire l'inverse...

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    2. En effet, ça peut se comprendre ainsi, merci pour votre éclairage,
      peut-être cette discussion à bâtons rompus relativement au cinéma fera comme un écho à tout un tas de questionnements relativement à la vie et à l'art de filmer, espérant que ce ne soit pas du déjà vu...
      https://www.youtube.com/watch?v=ctbifm5gX5A

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    3. https://lemiroirdesfantomes.blogspot.com/2015/09/la-nuit-du-chasseur-et-au-milieu-coule.html
      https://www.youtube.com/watch?v=8IXWKYBTQ0U

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    4. "L'existentialisme a mis à la mode un pathos outrancier qui met en danger le sérieux même de la pensée (Marrou, Connaiss. hist., 1954, p.25)"
      On ne sait plus si<;;; il faut se désoler de la platitude d'un film daté de 2004 ou de la platitude de l'époque, le formatage des esprits de l'homo economicus erectus est tel, que faire des films revient à décupler les reflets de scènes reflets de "déjà vues", quand le déjà vu est sublime on retourne au film d'origine mais l'époque est à la glorification de l'ersatz...
      "Clouscard propose en ce sens des sous-dimensions de l’usage mondain. La vedette est un type de mondain, pur produit du système, de la promotion de vente de l’industrie, du loisir et du plaisir, qui s’est vendue au succès, au show-business, aux valeurs culturelles des médias. Elle conditionne les masses. Le mondain n’est ici ni strictement le pouvoir de l’argent, ni celui du sexe ou de la jeunesse, ni celui de la beauté, mais celui de leur « promotion réciproque ».
      https://lvsl.fr/le-capitalisme-de-seduction-retour-sur-louvrage-de-michel-clouscard/

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    5. http://www.editions-galilee.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=2630
      https://www.franceculture.fr/emissions/les-nouveaux-chemins-de-la-connaissance/tourments-de-la-seduction-24-baudrillard-de-la

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    6. En un mot...selon le Kakou à l'humour ravageur
      Elie Kakou - Les professeurs (Live au Point-Virgule 1993)
      https://www.youtube.com/watch?v=014aZAw6JeI

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    7. https://www.youtube.com/watch?v=Ke3PQVK87mc

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    8. "Avec eux. Ensemble. Trouer les murs."
      https://www.franceculture.fr/emissions/latelier-de-la-creation-14-15/pierre-clementi-trouer-les-murs

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    9. https://www.youtube.com/watch?v=L-Y7lolqrcI&t=304s
      https://www.youtube.com/watch?v=p2yTrZAyPDs

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    10. Peut-être pour allonger la liste des "un film, une ligne" si pas déjà vu..;
      La trêve Philippe Joulia - 1973
      https://www.youtube.com/watch?v=b-DDYWKHOYc&list=LL&index=1
      La cousine Bette téléfilm, R. : Yves-André Hubert, France, 1964, adapt. Jean-Louis Bory, France, 1964. Int. : Alice Sapritch, Jacques Castelot.
      https://www.youtube.com/watch?v=nqooct0f5ro&list=LL&index=5
      L'or et la fleur Philippe Ducrest - 1974
      https://www.youtube.com/watch?v=OYCT8QNzM5k&list=LL&index=3
      La chaîne Claude Santelli
      https://www.youtube.com/watch?v=qxUe9QHDhIo&list=LL&index=2
      Rien que la vérité
      https://www.youtube.com/watch?v=N3wr3ytPApg&list=LL&index=6
      L'objet perdu avec Pierre Mondy
      https://www.youtube.com/watch?v=iSx-lvrhtlY&list=LL&index=8

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    11. https://lemiroirdesfantomes.blogspot.com/2016/12/lhomme-du-large-un-mauvais-fils.html
      https://www.youtube.com/watch?v=h9d99YymOxk
      https://www.youtube.com/watch?v=gidfhkkUYjg
      https://www.youtube.com/watch?v=0FOe_7rp1Pw

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    12. Merci !
      Le Journal une série télévisée française de 1979 réalisée par Philippe Lefebvre. Philippe Léotard : Clébert
      Alain Cuny : Wilchaint Béatrice Agenin : Françoise François Cluzet : Hubert
      André Falcon : Bonvoisin
      https://www.youtube.com/watch?v=lfskPngsqRM

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    13. https://www.youtube.com/watch?v=Q9j85bqt1uE
      https://lemiroirdesfantomes.blogspot.com/2016/07/noires-sont-les-galaxies.html

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