Ghost Stories : Mission impossible

Les esprits avérés ? Une vue de l’esprit. Des gens de talent, devant et derrière la caméra, mais ça ne fonctionne pas, la faute au freudisme, au manque de rythme, à l’absence de flamme(s) et de femme(s). Deux dramaturges, Jeremy Dyson & Andy Nyman, adaptent leur production à succès, à longévité. On se retrouve avec trois sketches (souvenirs) assemblés à la suite, cousus au fil pas si rouge, dehors, le gore , de l’investigation un brin à la con. Ce trio de cas résiste apparemment au spécialiste médiatique, vieil évanoui de caravane à vomir, qui charge donc le démystificateur en chef d’éclaircir tout ceci. Notre protagoniste, interprété par Nyman himself , s’appelle Goodman et il possède un passif familial conséquent, sa sœurette chassée de la maisonnette par le papounet à papillotes, peu porté sur les amours dites interraciales. Plus tard, comme une rime à nouveau dépressive aux origines gênantes, le vrai-faux psychiatre revivra un trauma de jeunesse à tunnel, à la Stephe...