La Route des Indes
Un métrage, une image : Vingt mille lieues sous les mers (1916) Douglas, Lorre, Mason indeed dorment tranquilles, du grand sommeil éternel de leur classique instantané, insubmersible ( Vingt mille lieues sous les mers , Fleischer, 1954), la curiosité, coachée par l’incontournable Carl Laemmle, signée d’un scénariste/réalisateur démuni de renommée, dépourvu de peur, ensuite restaurée par UCLA, s’apprécie cependant en opus pionnier, plaisant, toujours généreux, jamais vieux jeu. Flanqué des frérots Williamson, manieur d’images sous-marines, concepteurs de pieuvre en plastique, chic, escorté du directeur photo Gaudio, du maestro Orlando Perez Rosso, Paton fusionne le roman homonyme et celui de la mystérieuse île, bien après adapté selon l’ item anecdotique mais sympathique d’Enfield (1961), merci aux monstres-merveilles de Harryhausen, à la musique magistrale de Herrmann. Commencé sur un miroir, terminé en humide mouroir, ce Vingt mille lieues sous les mers , surcentenair...